« il y a un gros problème de main-d’œuvre dans le secteur minier au Burkina Faso et le développement minier nécessite une main-d’œuvre de qualité que nous n’avons pas. Cela nous oblige à la faire venir d’ailleurs pour accompagner le développement de ce secteur et notre objectif aujourd’hui c’est de faire en sorte que davantage de Burkinabè soient formés pour travailler dans les mines ». M. Frank Tapsoba, DG de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Burkina.
C'est par là que tous devrait commencer avant que nous ne puissions parler de "secteur minier" au Burkina. Le retard se rattrape.
Désormais disponible au Burkina avec ISPRO
Michel Font : « C'est ce qui explique le succès des formations hyper spécialisées. Des écoles moins prestigieuses que HEC ou l'Essec proposent des programmes spécifiques, par exemple sur le secteur du luxe, de l'assurance, du risk management... Certains de ces mastères se révèlent très cotés parce qu'ils répondent à une demande réelle des entreprises. Les MBA généralistes les moins réputés sont amenés à disparaître. Le marché est en train de se segmenter. »